Rêver de souris, dans la plupart des cas, n’est pas agréable. La signification psychologique de ce rêve, cependant, n’est pas nécessairement négative. Il suffit de dire que dans la Grèce antique, la souris était un animal sacré pour Apollon, même si sa fonction était de guider les âmes dans l’au-delà…
Si rêver de souris n’est pas amusant, ce sera à cause du sentiment de mépris généralisé qui accompagne ces petits animaux, qui ont toujours été associés à la saleté et à la maladie. Que dire, cependant, des très belles souris qui ont accompagné notre enfance ? Les souris ne sont pas toujours horribles, il y a des cas où il est facile de ressentir une certaine sympathie pour elles !
La signification de rêver de souris sera donc tout aussi ambivalente, et beaucoup dépend du type de souris qui apparaît dans nos rêves, des actions qu’elles accomplissent ou de la situation générale. Examinons de plus près ce que signifie rêver de souris et quel symbolisme peut être associé aux images de rêve les plus courantes associées à cet animal.
La signification psychologique de rêver de souris
Les souris sont de petits animaux qui vivent dans l’ombre et nous semblent ingouvernables ; elles courent et fuient de partout, se cachant derrière les murs. Rêver de souris prend très souvent le sens d’une de nos peurs profondes : celle de ne pas pouvoir contrôler les événements. L’anxiété découlant de cette impossibilité se transforme en souris dans notre inconscient.
Mais les souris sont aussi des animaux rongeurs, qui nous « rongent » de l’intérieur et l’interprétation des rêves passe par là, tout comme les pensées négatives, les angoisses obsessionnelles, les souffrances qui ne nous lâchent pas et qui nous habitent, comme si elles étaient indissociables de nos ombres. Rêver de souris signifie donc qu’elles se nourrissent des pensées qui nous font sentir mal et que nous ne pouvons pas éloigner.
Les rats peuvent également symboliser la présence de quelqu’un ou de quelque chose de négatif dans notre vie, par lequel nous sommes dévorés et possédés, ou même être le symbole d’une pulsion sexuelle très forte que nous réprimons et que nous ne voulons pas manifester ouvertement, pas même à nous-mêmes.
